Gérer son temps
Comment bien gérer son temps et vaincre la procrastination ?
Conférence du 20 janvier 2020
Pour cette conférence nous avons eu la chance d’accueillir Nadja M (https://www.instagram.com/nadjam_officiel/?hl=fr) – artiste plasticienne, ancienne productrice de films publicitaires – qui nous a présenté ses 5 habitudes de travail :
1- TO DO LIST : lister, dans le désordre, tout ce que vous avez à faire (même les petites actions). Important : mettre des verbes d’action : « appeler Mr Z » Objectif : déposer pêle-mêle sur papier tout ce que vous avez à faire sur votre projet, pour « libérer votre cerveau », qui lui, va commencer à mettre certaines actions dans l’ordre mais aussi à faire des liens d’actions à coordonner ensemble.
2- FAIRE DES RECHERCHES sur votre projet ; ce sont des références visuelles. Si votre projet est, par exemple, de créer votre site internet d’artiste, eh bien, regardez ce qui se fait dans le domaine. Objectif : visualiser, contextualiser.
3- FAIRE UN SCHEMA (ex : l’arborescence d’un site) ou ECRIRE A LA MAIN sur du papier des mots clés ou des bouts de phrase (si c’est votre biographie).
4- REDIGER, mettre en forme sur votre ordinateur cette fois-ci.
5- Laisser passer 1 jour ou 2 pour avoir du RECUL POUR MIEUX VOIR ce qui, sur votre projet, a besoin d’être amélioré / modifié.
Ce que nous pouvons retenir par ailleurs :
– quelle action pouvez-vous mettre en place dans l’heure pour avancer sur votre projet ?
-> une petite action qui rend concret le début d’un projet sera plus efficace qu’une planification trop ambitieuse
– pour éviter de procrastiner, il est judicieux de « paver le chemin de la moindre résistance » : si, avant de dîner, un paquet de gâteaux est sur la table, vous augmentez vos chances de perdre l’appétit une fois le repas venu. Il en va de même pour le travail.
– dans l’Odyssée, l’épisode d’Ulysse et des sirènes nous rappelle une donnée essentielle : nous sommes sous l’influence de la tentation lorsqu’elle est présente. Il faut anticiper pour s’en prémunir.
– lors de toute prise de décision, nous faisons appel soit à notre système automatique (choix rapide, inconscient, fait par habitude), soit à notre système réflexif (choix lent, conscient, déductif).
– tout objectif doit être découpé en toutes petites actions. Cela nous semble moins insurmontable. La technique des 3 TO DO LISTS peut nous aider en ce sens.
– il est judicieux de se donner des deadlines et de se créer une pression sociale positive (exemple de deadline : prendre rendez-vous avec quelqu’un pour lui présenter la dernière version d’un dossier de candidature).
– la méthode Pomodoro permet de créer un sentiment de satisfaction en se concentrant sur le temps que l’on consacre à une tâche plus que sur sa réalisation finale.
– Stéphanie C. Olivar – artiste textile – nous rappelle que nous avons des énergies différentes tout au long de la journée. Rédiger un dossier de candidature peut être plus facile le matin et un rendez-vous peut être plus productif l’après midi. Voici un lien qui permet de comprendre ses rythmes biologiques.
– Héloïse Bay, musicienne, compositrice et interprète – a fait référence au livre » Avalez le crapaud », un guide pratique pour organiser simplement ses journées.
Nouveaux acteurs du marché de l'art
Comment travailler avec les nouveaux acteurs du marché de l’art ?
Conférence du 3 février 2020
Nous cherchons toujours à améliorer nos interventions. Toute l’équipe est très attentive aux retours que tu peux nous faire. Est-ce que tu en as ? Cela nous aiderait grandement.
Pour cette conférence nous avons eu la chance d’accueillir :
– Julie Gueudet – Fondatrice de The Art Cycle une galerie en ligne qui démocratise l’art grâce à la vente et à la location d’œuvres d’art. The Art Cycle organise de nombreux événements. Julie a remarqué que plus un artiste est réactif plus les entreprises ou les chefs de projet pourront travailler avec lui. Elle conseille aussi de tenir à jour l’inventaire de ses œuvres et de poster régulièrement sur les réseaux sociaux. Voici son adresse mail : julie.g@theartcycle.fr
– Talla Dieye & Maria Mata – Co-fondateurs de Les Chambres – un tiers lieu de 700m2 dédié à l’art contemporain et au tatouage à Aubervilliers. Deux espaces d’exposition et des ateliers seront prochainement ouverts : tout le monde est invité à candidater. Voici l’adresse mail de Talla : talla.rdieye@yahoo.com
L’objectif de cette conférence était de décrire l’évolution du marché de l’art et d’identifier les nouveaux acteurs du marché de l’art pour entrer en relation et travailler avec eux le plus tôt possible.
– Entre 1990 et 2010, la part de la France dans le marché de l’art est passée de 40% à 5%. Le marché de l’art traditionnel en France se réduit d’année en année.
Les nouveaux acteurs du marché de l’art cherchent à valoriser le travail des artistes en sortant des modèles de distribution traditionnels.
Pour cela ils doivent éviter d’être dans un Océan Rouge.
Océan Rouge : une offre qui se situe sur un marché existant déjà saturé. Exemple d’Océan Rouge : une nouvelle galerie qui vend aux collectionneurs d’art.
Inconvénients : le nombre d’acheteurs est limité, la concurrence est rude et il est difficile de se différencier (toutes les galeries souhaitent vendre aux collectionneurs d’art)
Il peuvent aussi choisir d’être dans un Océan Bleu.
Océan Bleu : une offre nouvelle sur un marché où il n’y a pas ou peu de concurrents. Pour les artistes, c’est proposer des œuvres à des personnes qui ne sont pas des collectionneurs, qui sont éloignées habituellement du marché de l’art (géographiquement ou culturellement).
Voici 3 nouveaux acteurs du marché de l’art qui innovent pour aller à la rencontre d’un nouveau public :
1. Art’n Box / Une box d’art contemporain sur abonnement / Axe d’innovation : changer l’expérience du client, son rapport à l’oeuvre et son mode d’accès. Notre contact : adele@artnbox.fr
2. Yellow Peacock / Axe d’innovation : investir un nouveau territoire en cassant les codes habituels des commissaires priseurs grâce à une présence digitale très active. Notre contact : c.mouraut@yellowpeacock.com
3. Le Bateau / Axe d’innovation : être unique sur son marché en étant une des seules revues d’art érotique
Les inconvénients à travailler avec des nouveaux acteurs sont : Peu de clients / Peu de légitimité / Beaucoup d’incertitudes
Les avantages à travailler avec les nouveaux acteurs sont :
– Ils répondent aux mails / Vous pouvez les rencontrer facilement / Vous pouvez leur faire des retours sur leurs services pour qu’ils s’améliorent. Ils ont besoin de vous et vous pouvez être un véritable partenaire.
Identifiez les nouveaux acteurs susceptibles de travailler avec des artistes sur les plateformes suivantes et envoyez leur une proposition pour les rencontrer.
( Paris&Co , La Fabrique de la Danse, 1000 entrepreneurs , la BPI )
Trouver ses clients - Freelance
Comment trouver des clients sur Internet quand on est freelance ?
Conférence du 17 février 2020
Nous cherchons toujours à améliorer nos interventions. Toute l’équipe est très attentive aux retours que tu peux nous faire. Est-ce que tu en as ? Cela nous aiderait grandement.
Pour cette conférence nous avons eu la chance d’accueillir :
• Fanny Larue – Responsable de la communauté Malt – la première plateforme en ligne pour trouver des clients sur internet quand on est freelance. Fanny met en avant 3 critères qui sont importants pour toutes les plateformes en ligne :
– une photo qui inspire confiance
– des recommandations de la part de ses clients afin de valider son expérience
– les prix : une fois les 3 premiers clients obtenus, augmenter ses prix pour attirer des clients respectueux de son travail.
Retrouve le détail de son intervention et d’autres conseils dans la présentation que Fanny nous fournit en pièce-jointe.
Tu peux aussi contacter Fanny par mail à cette adresse : fanny.larue@malt.com
• Laurent B. Pictures est réalisateur/cadreur/monteur. Il est un membre historique de notre communauté. En décidant de vivre de son art il y a 4 ans, sa principale difficulté a été de trouver ses premier clients.
Tu trouveras en pièce-jointe les sites qui lui ont permis de trouver ses premiers clients.
Laurent insiste sur les points suivants :
– être très réactif lorsqu’on reçoit une demande d’un client
– Instagram remplace aujourd’hui la carte de visite : lorsqu’on rencontre une personne intéressante, la suivre sur Instagram
Tu peux contacter Laurent à cette adresse : contact@laurentbpictures.com
L’objectif de cette conférence était notamment de présenter des techniques pour augmenter ses
interactions avec de nouvelles personnes sur internet. En voici quelques-unes :
– il est important de ne pas vouloir plaire à tout le monde. Il est préférable d’être identifiable, particulier.
– identifier son domaine d’expertise, le sens que l’on met dans son travail. Par exemple, Keva Epale est directrice artistique et son domaine d’expertise est la création de lien entre le fond et la forme grâce au design. Elle met la curiosité positive au cœur de son travail.
– un portfolio pdf ou un bel Instagram vaut un site web vitrine. L’important ce sont les interactions.
– devenir un membre actif ou administrateur d’un groupe Facebook dédié à son activité comme par exemple celui-ci.
– sur Internet 1% des utilisateurs créent du contenu (articles, photos, podcasts, vidéos), 10% le relaient, 89 % sont silencieux.
Créer du contenu sur un sujet que l’on maîtrise permet d’être relayé et donc visible. Keva a par exemple créé un podcast dans lequel elle interroge des entrepreneurs inspirants. Un bon moyen de rencontrer de futurs clients ou partenaires. Il est également possible de publier ses articles sur des plateformes comme Médium.
Si la démarche de Keva t’intéresse, tu peux la contacter à cette adresse : hellokevaepale@gmail.com
LinekdIn
Comment utiliser LinkedIn pour développer son activité ?
Conférence du 9 mars 2020
Nous avons eu la chance d’accueillir Yannick Bouissière, spécialiste francophone de LinkedIn et Christine Boulanger, membre de notre communauté, dessinatrice et fondatrice de Visages d’en Faces, qui nous a parlé de son utilisation de LinkedIn pour créer de nouveaux partenariats et trouver des clients.
Pour la première fois, cette conférence était filmée.
Tu peux donc la revoir ou la découvrir via les liens ci-dessous :
1. Comment trouver des clients B to B ?
2. Qu’est-ce que la stratégie de Social Selling ?
3. Pourquoi prospecter des clients sur LinkedIn ?
4. Comment cibler et segmenter ses clients ?
5. Faut-il LinkedIn Premium pour prospecter en B to B ?
6. Comment optimiser son profil LinkedIn ?
7. Prospecter sur LinkedIn : la méthode LINKINFLUENT
Il est important de garder en tête que Yannick est comme un médecin généraliste : il n’est pas un spécialiste de LinkedIn appliqué au marché de l’art et de la création. Il faut donc prendre du recul et appliquer ses conseils en prenant en compte l’environnement dans lequel on évolue.
Voici quelques éléments à retenir :
– LinkedIn est un réseau pour professionnels, on peut y contacter directement des galeries, institutions, indépendants, entreprises, fondations, etc. C’est ce que l’on appelle trouver des partenaires B to B (Business to Business, c’est à dire « entre professionnels »).
– Avant de s’inscrire sur LinkedIn, il est nécessaire de définir sa cible, c’est à dire les personnes à qui l’on souhaite s’adresser. Cela permet de choisir les éléments pertinents à mettre en avant sur son profil.
– LinkedIn est un réseau de partage d’idées et de contenu. Tu peux donc y publier tes réflexions sur ton milieu professionnel.
Christine Boulanger a insisté sur l’importance de bien définir son discours ou positionnement artistique avant de s’inscrire sur la plateforme. Cela permet ensuite d’orienter toute sa communication.
Tu peux contacter Christine à cette adresse : cboulanger@visagesdenfaces.com ou sur LinkedIn
Nous espérons que ces conseils et bonnes pratiques t’ont plu.
Rencontre avec une galerie
Nous avons rencontré la galeriste Esther Korman, co-fondatrice de la galerie Esther & Paul. Esther nous parle de son concept de galerie décomplexée, de la manière dont elle choisit ses artistes, d’Instagram et de l’avenir du marché de l’art.
A déguster sans tarder, en cliquant sur ce lien.
Comment vendre son travail sur Instagram
Conférence du 16 septembre 2020
Voici les points qui ont été abordés et les informations que nous pouvons retenir de la conférence :
– Chaque usage a ses raisons. Avant de créer votre Instagram définissez le ou les usages que vous voulez en avoir : une messagerie privée, un journal de bord, un portfolio, un fil d’actualité, une boutique en ligne, etc.
– Pour créer une boutique en ligne sur Instagram, voici un tutoriel:
https://www.macomm-digitale.com/2019/01/15/comment-creer-votre-boutique- instagram-shopping/
– Instagram est un outil de communication visuelle – les messages doivent être simples et univoques. Dans la description de votre profil, indiquez ce que vous êtes, ce que vous faites et comment l’utilisateur peut en apprendre davantage sur vous et votre travail en mettant un lien hypertexte dans votre profil.
Voici 3 exemples de comptes :
https://www.instagram.com/heleneplanquelle/?hl=fr https://www.instagram.com/talliskermusic/?hl=fr https://www.instagram.com/helene_martinelli/?hl=fr
– Privilégiez un nom de profil sans tiret et sans ponctuation.
– Identifiez 3 types de profils qui constituent votre audience/vos clients sur Instagram.
– Instagram est un moteur de recherche qui fonctionne avec des mots clés ou des hashtags. Avant de créer votre compte, définissez 30 hashtags : 15 hashtags que vous utilisez tout le temps et 15 hashtags que vous utilisez selon les situations. Dans votre choix de hashtags, choisissez ceux qui sont peu suivis (spécifiques) et ceux qui sont très suivis (génériques).
– Pour être visible sur Instagram, les 4 points cardinaux sont les suivants : être lisible (photo de profil avec votre visage), relié (utilisez des liens hypertextes dans votre profil, commentaires ou descriptions de post), identifié (identifiez sur vos publications certains de vos proches ou partenaires), localisé (multipliez les localisations réelles ou imaginaires).
– C’est la photo qui fait l’objet. Toujours privilégier les photographies de très bonne qualité.
– Instagram fonctionne avec un algorithme. Comprendre l’algorithme permet d’être mis en avant sur Instagram. Si vous ne respectez pas certaines règles vous serez Shadow Ban. Pour cela il faut faire attention aux hashtags que vous utilisez et surtout éviter ceux qui sont sur la liste suivante: https://www.codeur.com/blog/shadow-ban-instagram/
Évitez d’utiliser des applications tierces ou robots pour mettre en avant artificiellement votre profil.
Publiez régulièrement et utilisez toujours les même hashtags.
Determiner son prix
Comment déterminer le prix de son travail ?
Conférence du 24 septembre 2020
DÉFINIR SA GRILLE TARIFAIRE
Pour définir sa grille tarifaire voici quelques repères sur lesquels s’appuyer.
Définir son environnement :
Le prix dépend de l’environnement qui se définit de la manière suivante :
Le prix fait partie du produit, c’est une représentation de sa valeur. Plus le produit est cher, plus on estime qu’il a de la valeur.
Une déduction heuristique :
L’acheteur calcule de manière rapide et instinctive le prix qu’il estime juste par rapport à son attente. Pour cela, il va comparer plusieurs prix entre eux par rapport à un prix de référence dit centre de gravité.
Pour réaliser sa grille tarifaire, il est donc indispensable de fixer son prix de référence en amont, afin de construire la grille tarifaire à partir de ce prix.
Plus il y a de prix différents, plus il est possible de proposer des expériences différentes aux acheteurs.
- Où ? – dans quel lieu diffuses-tu/vends-tu ton art ?
- Avec qui ? – avec qui produis-tu ou travailles-tu ?
- Pour qui ? – qui sont les destinataires de ton travail ?
EXERCICE – RÉALISER SA GRILLE TARIFAIRE
Galerie en ligne
Comment vendre son travail sur des galeries en ligne vol.1
Conférence du 16 octobre 2020
L’objectif de cette conférence est de présenter un état des lieux du marché de la vente en ligne pour vous aider à planifier une stratégie de vente en ligne adaptée à votre positionnement.
À lire : le Rapport Hiscox 2020 sur la vente en ligne que vous trouverez en pièce jointe. Nous avons aussi ajouté une liste non exhaustive de galeries et de plateformes en ligne pour vous aider dans vos recherches.
Voici les points qui ont été abordés :
30%, c’est la part des ventes réalisées purement en ligne en 2020 sur le total des ventes sur le marché de l’art dans le monde. Dans les autres cas, l’acheteur connaît déjà l’artiste et/ou achète après contact réel avec les œuvres.
91% des agents, des amateurs, des galeries, utilisent Instagram pour suivre leurs artistes ou en découvrir de nouveaux.
La principale barrière de la vente sur internet est la confiance. Pour inspirer confiance il faut systématiquement remplir son profil sur les plateformes de vente.
À œuvre identique, prix identique, quelle que soit la plateforme. Seul le prix proposé en atelier, en direct, peut être moins élevé.
Il est conseillé d’être très réactif et de répondre rapidement aux demandes ou aux questions. Après une vente, il est important de récupérer l’adresse mail de l’acheteur afin de l’inclure dans sa liste de contacts (lettre d’info, communications ciblées, invitations, etc.). Il pourra ainsi prendre l’habitude de consulter vos œuvres et actualités en ligne.
La majorité des plateformes ont un algorithme qui met en avant les artistes qui publient régulièrement (1 fois/mois) sur leur plateforme. Il est nécessaire, quand on pense candidater, de bien comprendre le fonctionnement de la plateforme.
Il existe 4 catégories de sites de vente en ligne :
– Les sites de vente aux enchères en ligne (Artsy, Drouault, American Auction)
– Les plateformes qui vendent uniquement en ligne, accessibles soit aux galeries et aux artistes, soit uniquement aux galeries, soit uniquement aux artistes (The Art Cycle, Saatchi, VOAR, Singulart, Kazoart, The Art Cycle, Art majeur, L ’ Atelier des
Créateurs, Artaetas, etc.)
– Les galeries physiques qui vendent aussi en ligne (Artistics, Esther &Paul, Carré
d’artiste, Art 21 concept)
Chaque type de plateforme à un fonctionnement différent.
Pour les plateformes de vente en ligne (uniquement), choisissez deux plateformes :
– une plateforme, dite ‘locale’, en langue française. Si la plateforme est plus petite il y
aura moins d’artistes et les responsables seront plus actifs ;
– une plateforme en langue anglaise ayant une portée internationale, pour être diffusé à
plus grande échelle et toucher un nouveau public.
Les plateformes comme Singulart sont des moteurs de recherche qui font des suggestions aux acheteurs en fonction de leurs clics sur le site.
Pour être visible et identifié par l’algorithme et l’intelligence artificielle : les photos doivent toujours être de qualité identique et les séries que vous présentez en photo doivent se ressembler. Vous devez aussi présenter de nouvelles œuvres régulièrement. Si les acheteurs laissent un commentaire c’est un énorme plus.
Analysez les types de prix pratiqués sur chaque plateforme pour proposer des prix cohérents par rapport à la plateforme (il y a des indications dans le Rapport Hiscox 2020).
Présentez des séries différentes, à des prix différents, en vous adaptant à des plateformes différentes.
Les plateformes avec beaucoup de visibilité sélectionnent souvent les artistes selon différents critères pour pouvoir inspirer confiance à leurs acheteurs. Ces critères peuvent être le nombre d’abonnés que vous avez sur Instagram, votre parcours académique, le fait que vous soyez dans une collection privée ou publique.
Vous pouvez privilégier les plateformes plus locales qui marchent vraiment au coup de cœur.